Le canot-camping au Québec est une activité incontournable si vous souhaitez partir à l’aventure au beau milieu de la nature. C’est une animation qui convient tant aux sportifs, qu’aux amoureux de plein air et aux personnes avides d’expériences qui sortent de l’ordinaire. Bref, ce genre d’activité nous correspond entièrement ! Nous avons donc tenté l’expérience au mois de juillet et nous avons vraiment beaucoup aimé.
Et vous, tentés ? Vous n’en avez jamais fait et vous avez peur de vous lancer car vous ne savez pas à quoi vous attendre ni où aller ? Sachez que pour une première en canot-camping, il est possible de trouver des centres d’aventure qui proposent de partir 2 jours accompagné d’un guide. C’est une bonne initiation pour apprendre les bases du canot… et du camping sauvage ! Et c’est ce que nous avons choisi de faire pour notre première expérience canot-camping. Nous vous disons tout de notre super week-end sur la rivière Matawin en Mauricie.
Où faire du canot-camping au Québec ?
Avec ses vastes paysages et ses nombreux points d’eau, le Québec est un endroit idéal pour faire du canot-camping. Il existe de nombreux endroits où pratiquer cette activité, certains plus sauvages, d’autres plus fréquentés. Lorsque vous choisissez l’endroit où vous voudriez aller, posez-vous certaines questions : Avez-vous déjà eu une première expérience auparavant ? Souhaitez-vous que l’activité soit guidée ? À quelle distance de chez vous ? Voulez-vous être seul au monde au beau milieu de la nature ou dans un endroit plus touristique ? Ainsi, vous saurez un peu plus vers quoi orienter vos recherches.
Parcs et rivières les plus prisées
Maintenant, voici 7 endroits réputés au Québec pour faire du canot-camping :
- Parc National de la Mauricie et alentours : orné de 150 lacs et de nombreux ruisseaux, le parc offre une variété d’itinéraires pour tous les niveaux. Si vous vous demandez que faire au parc national de la Mauricie, sachez que c’est l’un des plus beaux sites pour pratiquer cette activité ! Mais ses environs n’ont rien à lui envier, alors n’hésitez pas à vous
éloigner un petit peu pour encore plus de quiétude. - La Rivière Noire en Outaouais : ce lieu est parfait pour ceux qui cherchent une expérience accessible. Les courants relativement doux et les paysages pittoresques en font une excellente option pour les familles et les débutants. Le camping est autorisé le long du trajet, offrant de nombreuses possibilités pour des arrêts nocturnes.
- Parc National de la Jacques-Cartier (Sépaq) : cet endroit offre des parcours dans un cadre spectaculaire entre paysages de montagnes et forêts. La rivière Jacques-Cartier, avec ses méandres et ses rapides, propose des défis modérés adaptés aux débutants et aux intermédiaires.
- Réserve faunique de la Vérendrye (Sépaq) : entouré de 4000 km² de nature sauvage, le Réservoir Gouin et les nombreux lacs de la réserve offrent des trajets diversifiés adaptés à tous les niveaux de compétence.
- Parc National du Mont-Tremblant (Sépaq) : le Lac Monroe est un choix populaire pour ses eaux tranquilles et ses belles plages de sable.
- Parc National des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie (Sépaq) : au cœur de la région de Charlevoix, ce parc offre des défis pour les canoteurs expérimentés avec ses rapides et ses gorges spectaculaires.
- Réserve Faunique des Laurentides (Sépaq) : avec ses innombrables lacs et rivières, les parcours de la réserve sont variés et peuvent être adaptés selon le niveau de compétence et le temps disponible. Le Lac Jacques-Cartier est particulièrement apprécié pour ses plages de sable et ses eaux claires.
Pourquoi avons-nous choisi la rivière Matawin en Mauricie ?
Tout d’abord, nous cherchions un endroit situé en pleine nature et où il n’y aurait pas beaucoup d’autres personnes sur le parcours ou sur le campement. Dès lors, nous avons exclu les excursions à l’intérieur des parcs nationaux. Nous voulions également être éloigné de la pollution sonore et donc éviter les rivières longeant des axes routiers à grande vitesse ou relativement fréquenté. Pour cela, nous devions nous éloigner de Montréal. Nous avions pensé à aller du côté du Lac Saint Jean ou en Outaouais, mais les distances étaient assez conséquentes. Nous avons alors pensé à la Mauricie, qui est très nature, remplie de lacs et de ruisseaux. Et finalement, puisque c’était notre première fois, nous recherchions une excursion guidée et de courte durée.
On a donc ciblé notre recherche sur la Mauricie et nous sommes vite tombés sur Coop Adventure Matawin, qui semblait répondre à tous nos critères. Ils proposaient différentes possibilités comme 2 jours et une nuit, 3 jours et 2 nuits ou des excursions de plus longue durée comme 9 ou 11 jours. Nous avons opté pour la première option car, non seulement, nous n’en avions jamais fait, mais aussi parce que c’était la durée parfaite pour une fin de semaine. Cela nous permettait de ne pas devoir prendre de congé pour s’y rendre. Nous avons donc simplement effectué notre réservation en les contactant via courriel.
Déroulement de notre weekend canot-camping guidé en Mauricie
Avant notre départ, nous nous posions beaucoup de questions sur le déroulement de l’activité. Combien serions-nous ? Quelle distance allons-nous parcourir ? Est-ce que ce sera difficile ? Qu’allons-nous manger ? Que doit-on prendre avec nous ? Nous étions tout excités à l’idée de faire cette activité mythique du Canada. Nous allons vous expliquer un peu plus comment notre expérience de canot-camping au cœur au Québec s’est déroulée.
Jour 1 : remontée de la rivière Matawin jusqu’au campement
Arrivée au centre d’aventure
Samedi matin, nous sommes partis aux petites heures de Montréal, car nous avions 2h30 de route pour arriver au centre d’aventure. Nous y arrivons et découvrons un lieu entièrement enclavé dans la nature au bord de la rivière Matawin. Nous garons notre voiture et nous nous dirigeons vers la rive. Un premier instructeur nous accoste directement avec un air super amical. Il nous demande pour quelle activité nous venons et nous redirige vers notre accompagnatrice. Elle nous explique durant quelques minutes le déroulement de l’animation en nous montrant sur la carte ce que nous allons faire. C’est là que nous apprenons que nous allons faire 7 kilomètres le premier jour et environ 11 le second. Ensuite, elle parcourt avec nous un document de décharge en cas d’accident à signer. C’est également à ce moment que nous comprenons que nous ne serons que nous 4 et la guide. Chouette petit comité ! Avant le départ, elle nous donne des tonneaux étanches pour mettre les affaires que nous voulons à tout prix garder sèches.
Nous embarquons nos affaires dans une camionnette et nous roulons vers le point de départ au kilomètre 14 du chemin longeant la rivière. Une fois arrivés, nous déchargeons tous ensemble la camionnette : tonneaux et sacs personnels, tonneaux de nourriture et vaisselle, canots et rames ainsi que le matériel de sécurité. Nous amenons tout cela au bord de la rive et l’instructrice nous explique comment positionner tout cela dans nos embarcations. Il faut savoir que la personne à l’arrière possède un rôle particulier puisque ce sera à lui de guider le canot sur l’eau. Mais ne vous en faites pas, votre accompagnateur vous expliquera les différentes techniques de base pour faire avancer et diriger votre petit bateau.
Départ de l’expédition sur la rivière Matawin
Nous donnons les premiers coups de pagaies. Au début, c’était un peu laborieux et nous faisions beaucoup de zig zag. Mais une fois que l’on s’habitue, cela devient plus facile. La grosse difficulté de ce premier jour est qu’il faut remonter la rivière Matawin à contre-courant. En plus de cela, nous avions beaucoup de vent venant de face. Nous avancions doucement mais sûrement. Nous avons fait un premier arrêt sur une petite plage le long du rivage pour prendre le pique-nique. Je ne vais pas vous dévoiler les repas, je vous laisse la surprise! Ne vous inquiétez pas, vous mangerez bien ! Les repas sont simples mais efficaces et très plaisants !
Une fois notre repas terminé, nous reprenons notre matériel et nous repartons… encore à contre-courant évidemment. Julien et moi étions à l’avant, le ciel s’était couvert, et nous étions seuls. L’ambiance était super plaisante, nous sentions vraiment que nous étions seuls au milieu de nulle part. À un moment, nous voyons des petites îles juste devant nous qui étaient toutes mignonnes. Nous décidons de nous arrêter sur l’une d’elles pour attendre nos amis et l’accompagnatrice et y faire une petite pause. Malheureusement, l’arrêt fut de courte durée puisque la pluie s’est mise à tomber. On a vite fait enfilé nos vestes et nous avons rapidement remis nos canots à l’eau ! Nous avons terminé le trajet sous la pluie mais entouré de superbes paysages.
Arrivée au campement
Quand nous sommes arrivés au camp, nous avons directement été encerclés de moustiques. Nous ne nous attendions pas à en avoir autant. Mais pas le temps de chipoter, nous devions sortir toutes les affaires de notre embarcation. Après cela, nous avons été nous mettre dans l’abri moustiquaire au milieu des bois et nous avons discuté une bonne heure avant que la guide parte faire le feu. Nous l’avons accompagnée pour la regarder faire (oui, on l’avoue, aucun de nous n’aurait été capable d’allumer le feu après la pluie). Une fois le feu allumé, nous avons pu manger un autre bon repas. Il s’est d’ailleurs clôturé avec un grand classique : les marshmallow au feu. Notre accompagnatrice nous a même appris à le faire comme des pros !
En soirée, le ciel s’est dégagé, et le soleil est réapparu. Nous avions donc une jolie vue colorée sur la rivière à l’heure du coucher de soleil. De quoi bien terminer la journée.
Jour 2 : passage dans les méandres jusqu’au lac Anticagamac et descente de la rivière Matawin
Les méandres et le lac Anticagamac
Après une bonne nuit de sommeil (bon faut l’avouer on s’est réveillé plusieurs fois à cause de nos piqûres de moustiques de la veille), nous nous réveillons de bonne heure. Ce matin, le soleil était de la partie ! Nous allons sous le moustiquaire pour discuter tout en prenant un bon petit déjeuner. Une fois terminé, nous partons remballer toutes nos affaires et nous les embarquons.
Nous quittons le campement direction le lac Anticagamac dans le parc national de la Mauricie. Pour y arriver, nous passons par des méandres. À cet endroit, la trajectoire est plus étroite et tourne beaucoup. Il est donc nécessaire de prêter une plus grande attention à la façon dont on dirige l’embarcation au risque de… se retrouver dans les plantes ! Mais quoi qu’il en soit, même si vous vivez une petite sortie de route, il est toujours très facile de se remettre dans le droit chemin. Lorsque nous étions dans les méandres, nous étions plus proche de la nature. À certains endroits, l’eau était tellement calme que nous pouvions y voir le reflet parfait de la végétation et des arbres. Cette partie du trajet était la plus chouette et la plus apaisante de toutes.
Quand nous arrivons au bout et que nous quittons les méandres pour arriver sur le lac Anticagamac, c’est magique. Imaginez, vous arrivez sur un grand lac et il n’y a que vous ! Nous avons un peu pagayé sur le lac et avons repris le chemin en sens inverse pour arriver à hauteur du campement et reprendre la rivière Matawin.
Descente de la rivière Matawin et retour au centre d’accueil
Cette fois-ci, nous parcourons le chemin en sens inverse. Puisque nous étions dans le sens du courant, le retour fut beaucoup plus rapide !
Nous avons tout de même fait un arrêt sur la même petite île qu’hier d’y prendre notre repas de midi. Nous étions au soleil mais la température était parfaite. Après un peu de repos, nous retournons pagayer ! Les paysages sous le soleil étaient différents des paysages pluvieux de la veille. De plus, le courant nous emportait c’était donc beaucoup plus facile. Le retour fût très agréable. Nous avons même chanté, et l’accompagnatrice nous a accompagné dans cette chorale endiablée !
Une fois arrivé à notre point de départ de la veille, nous avons évidemment vidé nos canots et nous avons tout transporté vers la camionnette. Une fois de retour au centre d’accueil, nous déballons nos affaires personnelles et nous remercions notre guide pour ce super moment qu’elle nous a fait passer.
Que prendre avec soi pour un week-end canot-camping guidé ?
Voici une liste des choses indispensables à prendre avec vous :
- Maillot de bain
- Essui
- Chaussures d’eau
- Vêtements pour la journée pouvant être mouillés
- Chaussures pour le camp
- Vêtements secs pour la soirée (et chaud en fonction de la météo prévue)
- Veste de pluie
- Un bon spray anti-moustiques
- Crème solaire, casquette et lunette de soleil
- Sac de couchage (location possible)
- Tapis de sol (location possible)
- Tente (location possible)
- Lampe frontale
- Une batterie portable si vous avez besoin de recharger vos appareils électroniques pour prendre de belles photos de vos aventures
Si vous partez en totale autonomie, sans accompagnateur, vous devrez penser à emporter d’autres objets tels que le canot, les pagaies, les sacs ou bacs étanches, votre nourriture, des ustensiles de cuisine, de l’eau en suffisance ou un filtre, de quoi faire le feu, une trousse de secours, des gilets de sauvetage, un casque si vous comptez passer dans des rapides, un sifflet en cas d’urgence, des cartes imperméables, une boussole ou GPS,…
Lorsque vous préparez vos affaires, prenez des articles compacts et légers afin de ne pas surcharger votre embarcation et voyager léger. Et surtout, pensez à ne rien laisser derrière vous afin de minimiser l’impact sur l’environnement.
Notre avis sur notre activité canot-camping au Québec
Cette première expérience fût une grande réussite. Elle nous a assurément donné envie d’en refaire. Nous aimerions peut être tester une seconde fois avec un guide, mais sur 3 ou 4 jours cette fois. Après cela, peut-être oserons-nous nous aventurer seuls sur d’autres cours d’eau, qui sait ?
Nous avons beaucoup aimé le second jour lorsque nous étions dans les méandres et sur le lac Anticagamac. De plus le retour sur la rivière Matawin était plus facile puisque nous étions dans le sens du courant. Et le soleil était avec nous, ce qui a encore plus égayé la journée.
La soirée sur le campement était très chouette, le repas très bon et les marshmallows au feu couronnaient bien le tout. Cependant, un conseil que l’on vous donne est d’emporter votre produit anti-moustique avec vous.
Plus globalement, nous avons adoré le fait de se sentir seul au monde. Il n’y avait personne d’autre. Nous entendions juste la nature. De quoi bien déconnecter de la routine en ville !
Enfin, notre guide était au top. Elle nous a bien initié au canot-camping, mais elle a aussi été une très bonne compagnie ! Elle a fait partie intégrante de notre aventure. En bref, cette excursion est un indispensable lors de votre voyage au Canada ou lors d’un week-end au cœur du Québec, que vous soyez Canadien ou touriste. Si vous êtes embarqués dans un road trip dans le Fjord-du-Saguenay, un road trip en Gaspésie ou une visite de Québec, c’est un chouette arrêt à faire sur le chemin aller ou retour depuis Montréal.
Quelques informations et conseils pratiques
Quand faire du canot-camping au Québec ?
Il est possible de prendre part à cette expérience au Québec à toutes les saisons sauf l’hiver. Sachez que c’est une activité plutôt prisée, alors pensez à faire la réservation un peu à l’avance.
Le printemps est une chouette saison car la nature revit: les arbres redeviennent verts, les oiseaux reviennent, le soleil est plus présent,… Cependant, les températures peuvent être encore fraîches en fonction du moment où vous y allez. L’eau est également toujours fraîche. Le courant, quant à lui, est plus fort dû à la fonte des glaces, ce qui rend certains parcours plus difficiles. Enfin, les moustiques font peu à peu leur retour.
De juin à août, en été, la température de l’air et de l’eau est plus élevée, ce qui rend toute animation aquatique plus agréable. Les niveaux de ce dernier se stabilisent, ainsi, plus de parcours deviennent accessibles aux plus débutants. Les journées sont plus longues, ce qui permet de pagayer sur de plus longues distances et de profiter de la journée plus longtemps. Cependant, la période chaude est plus achalandée et les moustiques et insectes sont bien présents.
Enfin, à l’automne, les températures se rafraichissent mais restent agréables pour pagayer. Le niveau des eaux est plus bas, il est donc possible que vous deviez marcher par endroit, dépendamment de là où vous allez. Le gros point fort est de pouvoir observer les couleurs automnales depuis votre canot. Mais pour cela, allez y début octobre, les couleurs ne restent pas très longtemps ! Et enfin, le second point fort de la saison, c’est l’absence de moustiques.
Quel niveau de condition physique faut-il ?
Le niveau de condition physique nécessaire pour le canot-camping varie en fonction du parcours et des conditions. Une condition physique de base est généralement suffisante pour des itinéraires faciles, tandis que les parcours intermédiaires et avancés nécessitent une meilleure endurance, force et technique. Pour notre part, nous sommes plutôt sportifs, nous n’avions pas fait de préparation physique spéciale, et l’activité était clairement adaptée à notre niveau. Si vous partez sur un trajet facile, la condition physique ne devrait pas trop vous inquiéter.
Que faire en cas de mauvais temps ?
Avant de partir, prenez quelques minutes pour consulter la météo. Cela vous permettra d’être préparé mentalement au mauvais temps et vous aidera à prévoir de quoi vous protéger lors de l’excursion. Quel que soit la météo prévue, prenez toujours avec vous des vêtements imperméables ainsi que des vêtements de rechange au cas où vous seriez mouillés. Si l’orage se présente, pagayez proche de la rive et cherchez un endroit pour vous abriter loin des arbres.
Est-il possible de faire du canot-camping avec des enfants ?
Oui, en choisissant des parcours adaptés, en assurant leur sécurité et en rendant l’expérience amusante et éducative, faire ce genre de séjour avec des enfants peut être une chouette occupation familiale.
Quel est le prix pour un week-end canot-camping ?
Cela dépend si vous le faites guidé. Pour notre part, nous avons payé 275$ (taxes comprises) par personne. Ce prix comprenait l’accompagnement par une guide sur les deux jours du séjour, la location du canot, des pagaies, du gilet de sauvetage et du kit de sécurité, ainsi que 4 repas. Après l’expérience que nous avons eu, nous n’avons aucun regret d’avoir payé ce montant pour cette activité.
Faut-il payer un droit d’accès pour un parc lors d’une excursion à Adventure Matawin?
Il n’y a pas de frais d’entrée à payer pour aucun parc, cependant, avant d’arriver au centre d’aventure, vous devrez payer 12$/voiture comme droit de passage sur le pont.
Quelle est la différence entre du canot et du kayak ?
Le canot est ouvert sur le dessus, plus large, et transporte plusieurs personnes et du matériel. On utilise une pagaie simple et les pagayeurs se tiennent à genoux ou assis. Il est idéal pour les excursions sur lacs et rivières lentes en groupe. Le kayak est fermé sur le dessus avec un cockpit, plus étroit et long. On utilise une pagaie double et les pagayeurs sont assis avec les jambes étendues. Conçu pour la vitesse et la maniabilité, il est adapté aux sports nautiques et aux excursions en petit groupe ou en solitaire.
Pour plus d’idées de choses à faire dans ce magnifique pays, consultez les autres articles de notre blog de voyage au Canada !
À propos de l’auteur de cet article
Moi c’est Anaïs et je suis passionnée de voyages. J’adore par dessus tout la nature et les animaux. J’ai commencé à voyager en 2019 lorsque j’ai rencontré Julien. Désormais, voyager est devenu ma plus grande motivation. En 2024, j’ai décidé de partager tout ça avec vous en créant le blog Mes voyages et moi. Alors n’hésitez pas à nous suivre et partez à la découverte du monde avec nous!
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