L’excursion des chutes Waber est l’une des activités phare du parc national de la Mauricie. Avez-vous déjà pagayé sur un grand lac, marché quelques kilomètres en forêt, puis découvert au détour du sentier une impressionnante cascade qui se déverse sur plusieurs paliers rocheux? C’est exactement ce que cette activité vous réserve.
Ce qui rend cette sortie unique, c’est son côté hybride. En effet, une partie se fait en canot, une autre en randonnée, le tout menant à une chute magnifique où l’on peut s’arrêter pour se reposer, pique-niquer et même se rafraîchir. Pour nous, c’était une belle manière de s’évader des randonnées classiques
Dans cet article, vous trouverez toutes les informations pratiques et notre expérience détaillée pour préparer votre propre aventure: accès, itinéraire, informations pratiques, conseils, location de matériel et avis personnel. Que vous soyez un amateur de sport de pagaie ou un randonneur curieux de découvrir ce joyau caché du parc, vous aurez ici toutes les informations pour profiter pleinement de cette activité incontournable.
Où se trouvent les chutes Waber ?
Elles se situent au cœur du parc national de la Mauricie, au nord de Shawinigan. L’accès se fait par l’entrée Saint-Mathieu, située à environ 2h de route de Montréal et de Québec. Une fois l’entrée passée, il faut rouler jusqu’à l’aire de pique-nique Wapizagonke. Situées dans la partie est du parc, les chutes Waber sont isolées et uniquement accessibles en traversant le lac Wapizagonke.
Comment se rendre aux chutes Waber?
L’itinéraire passe par le lac Wapizagonke, immense plan d’eau emblématique du parc découpé en quatre bassins. Pour rejoindre les chutes, il faut pagayer jusqu’au 3ᵉ bassin, puis franchir un passage plus étroit et peu profond vers le 4ᵉ bassin, au bout duquel se trouve l’aire d’accostage pour accéder au sentier pédestre. De là, une marche d’environ une heure au travers de la forêt permet d’atteindre les cascades.
Carte de l’itinéraire

Fiche technique de l’excursion aux chutes Waber
- Distance en canot (aller) : ~4,5 km (~1h à 1h30 de pagaie selon le rythme)
- Distance de marche jusqu’aux chutes (aller) : ~3 km à partir du débarcadère (~1h de marche)
- Distance jusqu’au belvédère Anticagamac (aller) : ~4,5 km à partir du débarcadère (soit +1,5 km après les chutes)
- Temps total: 5 à 6 heures aller-retour (pauses incluses)
- Niveau de difficulté : Modéré
- Lieu de départ : Aire de pique-nique Wapizagonke
- Accessibilité : Pour tous y compris les familles un minimum sportive avec enfants
- Période recommandée : Juin à septembre
Départ de l’excursion
L’excursion débute à l’aire de pique-nique Wapizagonke. C’est là qu’on accède au kiosque de location de canots et au grand stationnement.
Si vous louez, on vous remettra également des pagaies, un gilet de sauvetage par personne ainsi qu’un petit contenant de sécurité (avec sifflet et corde d’attrape flottante).
Une fois équipé, embarquez dans votre canot, puis pagayez vers la gauche (en longeant le rivage). Rapidement, vous passerez sous un petit pont bétonné, qui marque l’entrée officielle du parcours.
À partir de là, il suffit de continuer tout droit. Le trajet est assez intuitif car le lac est long et étroit, il n’y a qu’une seule direction possible, impossible de se tromper.
Trajet sur le lac Wapizagonke
Bassin 3
Après le petit pont, on entre dans le 3ᵉ bassin, large et calme. Le paysage est très joli avec les berges boisées qui se reflètent dans l’eau. Il est possible d’observer hérons, castors et huards. Ce dernier utilise les bassins 3 et 4 comme lieux de nidification. Il ne faut surtout pas s’arrêter sur les petites îles car c’est là que les huards nidifient en période de reproduction.

Passage du 3ème au 4ème bassin
En avançant, on entre dans un bras d’eau étroit et peu profond. Au tout début, le niveau était si bas que nous avons dû sortir du canot et le pousser sur quelques mètres avant de remonter dedans. Un peu plus loin, Julien a dû à nouveau sortir et me pousser! Encore plus apaisant de se faire pousser!




Quelques mètres plus loin, nous sommes arrivés au niveau du barrage de castors. Ce barrage n’est pas très gros, mais on pouvait tout de même bien distinguer le niveau d’eau avant et après le barrage. Au pied de celui-ci, nous avons dû descendre du canot afin de le remonter. Pas évident d’enjamber le barrage avec des petites jambes mais ça se fait quand même bien. Pauvres castors… Tout leur travail est en partie détruit chaque jour… Mais au moins ils ne s’ennuient jamais à tout reconstruire !

Bassin 4
Une fois cette section étroite et peu profonde franchie, on atteint le 4ᵉ bassin, le plus long et le plus joli. On aperçoit plein de petites îles, le calme règne toujours, entouré de forêts, où on entend parfois un huard, un écureuil ou le chant des oiseaux. C’est vraiment apaisant.


En avançant, on commence à apercevoir le bout du bassin et la petite plage où on dépose les canots. Une fois arrivé sur la plage, il y a des racks pour les déposer, on peut aussi simplement les laisser sur la plage. Selon l’heure, il peut y avoir plus ou moins de monde. Quand nous sommes arrivés, il n’y avait pas grand monde, mais en après-midi ça peut être bien rempli.
Nous avons laissé nos chaussures d’eau et gilets de flottaison dans le canot, puis nous avons enfilé nos chaussures de rando avant de démarrer la balade.
Le sentier de randonnée jusqu’aux chutes
Le premier kilomètre est quelque peu exigeant, avec une montée régulière au cœur de la forêt. Mais pas d’inquiétude, le reste du chemin est relativement plat, idéal pour bien profiter de la balade.



Au bout de ce premier kilomètre de montée se trouve une intersection. À gauche, un chemin menant à un point de vue sur le lac que vous venez de traverser. Une plate-forme en bois avec un banc permet de faire une pause, admirer le panorama et prendre quelques photos. À droite, vous continuez directement le chemin vers les cascades. Nous vous conseillons vivement de passer au belvédère, car ce n’est que quelques mètres en plus et une bonne occasion pour souffler un coup.

Ensuite, il reste environ 2 km sur un sentier facile, principalement en forêt. La voie est bien aménagée, avec des pontons en bois là où la boue pourrait être présente après la pluie.
Lorsque nous y sommes allés, le calme régnait. Puisque nous étions là tôt, il n’y avait quasiment personne à l’horizon. On entendait seulement le chant des oiseaux et le bruit des branches d’arbre qui bougeaient au gré du vent.




Un peu plus loin, vous trouverez une intersection. À gauche, c’est le sentier qui mène directement aux chutes. À droite, c’est celui qui continue jusqu’au lac Anticagamac ainsi qu’à son belvédère. Nous avons donc pris le chemin de gauche pour commencer.
Pause au pied des chutes Waber
Nous sommes enfin arrivés aux chutes, et heureusement, il y avait encore peu de monde. Dès l’arrivée, on découvre une plateforme en bois qui permet d’avoir une vue dégagée sur la chute, légèrement en hauteur. C’est un premier point de vue idéal pour admirer l’endroit et prendre quelques photos.
Nous nous sommes ensuite installés sur des rochers en face des cascades et nous avons profité de ce moment pour prendre notre lunch un peu en avance. Nous avons passé un long moment à simplement contempler les lieux et à écouter le bruit de l’eau. Tant qu’à y être, autant en profiter pleinement.
La chute elle-même est vraiment belle. L’eau arrive à la fois de gauche et de droite, donnant l’impression de deux cascades distinctes qui se rejoignent au même endroit. Le débit est assez élevé. Pour nous, c’est sans doute les plus belles chutes que nous avons vu au Québec jusqu’à présent. Nous avions lu à plusieurs endroits qu’elles étaient considérées comme un joyau caché du Québec. Et il est vrai que le coin est superbe et vaut vraiment le coup.
Pendant le temps où nous sommes restés, nous avons vu de plus en plus de visiteurs arriver. L’affluence augmentait, mais nous avions déjà bien profité de ce moment. Après cette pause, nous avons remonté l’escalier pour retourner à l’intersection.

Prolongation de la randonnée jusqu’au belvédère du lac Anticagamac
Nous avons décidé de prolonger un peu notre randonnée en direction du belvédère du lac Anticagamac. Beaucoup de visiteurs s’arrêtent à la cascade et refont le trajet dans l’autre sens, mais puisque nous aimons marcher, nous avons voulu rallonger le tour.
La section vers le mirador est tranquille et quasiment déserte. Nous avons retrouvé le calme. Le chemin descend progressivement et, au bout d’environ 1 km, un petit sentier sur la gauche, bien indiqué par un panneau, s’engouffre dans la forêt. C’est ce chemin qu’il faut prendre. Il reste ensuite 500 mètres de marche pour atteindre le point d’observation.
De là, la vue sur le lac est superbe. C’est amusant, car nous avions déjà pagayé dessus lors d’un week-end canot-camping l’année précédente. Le panorama est d’ailleurs tout aussi beau depuis la terre que depuis l’eau. Des panneaux explicatifs racontent comment des brûlages dirigés ont été réalisés ces dernières années et comment la végétation s’est régénérée, pour ceux qui s’intéressent à l’écologie.

Le belvédère dispose également de bancs, parfaits pour s’asseoir et profiter du paysage. Nous y sommes restés une dizaine de minutes, savourant le calme et la beauté du lieu, avant d’entamer le trajet en sens inverse vers la plage.
Sachez que si vous voulez prolonger encore plus, vous pouvez descendre jusqu’au bord du lac Anticagamac. Attention, la boucle est fermée à partir de là, il vous faudra faire le trajet en aller-retour (information de août 2025).
Trajet retour vers l’aire de pique-nique Wapizagonke
Sur le chemin en revenant, nous avons croisé beaucoup de monde, ce qui montre bien qu’arriver tôt est un vrai avantage si l’on souhaite profiter d’un peu de calme. Une fois arrivés à la plage, nous avons retrouvé facilement notre embarcation (parmis des dizaines d’autres) et sommes repartis.
Malgré le va-et-vient sur le sentier, le retour sur le lac restait extrêmement calme. Il est si vaste qu’à aucun moment nous n’avons eu l’impression qu’il y avait du monde autour. Nous avons pris notre temps pour pagayer, écouter la nature et profiter de ce moment de tranquillité.
Le trajet pour revenir s’est déroulé aussi bien que l’aller, même si nous avons eu un peu de vent de face sur le 3ᵉ bassin vers la fin. Une fois arrivé, nous avions le sentiment d’avoir vraiment profité de notre journée. Pour ceux qui souhaitent prolonger l’expérience, il est également possible de continuer à explorer le lac, et profiter encore un peu de ce cadre apaisant.
La location des canots et kayaks sur place
Sur place, il est possible de louer l’équipement directement à l’aire de pique-nique Wapizagonke. Ils fournissent tout le matériel dont vous aurez besoin. C’est idéal si vous n’avez pas votre propre matériel, ou si vous souhaitez simplement profiter de l’expérience sans vous encombrer.
Louer sur place ou en avance ?
Il est possible de louer sur place le jour même. Cependant, la réservation à l’avance est fortement recommandée, surtout en haute saison (été et longs week-ends). Cela vous garantit de disposer de l’embarcation souhaitée et surtout de vous assurer d’en avoir une. Si vous arrivez trop tard, il est possible qu’il n’y en ait simplement plus. Dans ce cas, vous devrez attendre que des personnes reviennent et rendent leur matériel pour pouvoir en avoir à votre tour. La réservation peut généralement se faire en ligne ou par téléphone.
Tarifs pour louer le matériel
Pour la saison 2025, les tarifs indicatifs pour la location du matériel à la journée sont :
- Canot (2-3 personnes) : 53,92$ par jour
- Kayak simple : 55,23 $ par jour
- Kayak double : 60,88 $ par jour
Comment bien préparer votre expédition : quelques conseils
Pour profiter pleinement de cette aventure, il est important de bien se préparer. Voici quelques conseils pratiques :
- Arriver tôt le matin permet de profiter du calme et d’éviter l’affluence sur le sentier et à la plage des chutes.
- Réserver votre embarcation à l’aire de pique-nique Wapizagonke (veillez à bien choisir le bon endroit lors de la réservation) en avance pour être sûr d’en avoir une sur place.
- Prévoir le bon équipement.
- Prendre en compte que la traversée des bassins prend environ 1h à 1h30 et inclut des sections étroites et peu profondes, parfois à franchir à pied ou en poussant le canot.
- Prendre en compte que la randonnée fait 3km aller, avec un premier kilomètre en montée puis un sentier relativement plat. Pour prolonger la balade, vous pouvez continuer jusqu’au belvédère du lac Anticagamac.
Que prendre avec soi pour aller aux chutes Waber ?
Pour en profiter pleinement, il est important d’emporter le bon équipement et quelques essentiels :
1. Équipement pour le canot
- Chaussures d’eau ou sandales fermées adaptées à l’eau
- Vêtements confortables et qui sèchent rapidement
- Gilet de sauvetage (fourni si embarcation louée)
- Petit kit de sécurité (corde et sifflet) (fourni par le kiosque si loué)
- Chapeau, lunettes de soleil et crème solaire pour se protéger du soleil
2. Équipement pour la randonnée
- Chaussures de randonnée fermées et confortables
- Vêtements adaptés à la météo
- Sac à dos
- Anti-moustique
3. Nourriture et boissons
- De quoi boire en suffisance (1 à 2 litres par personne)
- Collations ou lunch pour faire une pause
Notre avis sur l’excursion aux chutes Waber au coeur du parc national de la Mauricie
Nous avons adoré notre journée. C’était une belle manière de changer nos habitudes, puisque nous faisons majoritairement des rando de niveau moyen à difficile pour atteindre des points de vue. Ici, l’expérience est différente et bien équilibrée : une portion en canot, suivie d’une belle balade en forêt. Le mélange des deux rend l’excursion vraiment agréable et variée.
De plus, l’arrivée aux chutes vaut totalement l’effort. Elles sont vraiment belles. À nouveau, cela change de nos habitudes puisque nous n’avons pas souvent l’occasion de voir de si belles cascades.
Enfin, nous avons trouvé l’ensemble de la sortie très apaisante. Le calme sur le bassin nous a surpris. Je pense que nous avons découvert une nouvelle passion pour les sports de pagaie! Avec le soleil radieux que nous avons eu, c’était vraiment parfait.
Quelques informations pratiques supplémentaires
Faut-il un billet ou payer des droits d’accès ?
Oui, un droit d’entrée est requis. Pour y accéder, vous devez acheter un billet d’entrée au parc national de la Mauricie (9 $ par adulte, gratuit pour les 17 ans et moins) ou présenter un laissez-passer valide (saisonnier ou Pass Découverte).
Combien de temps total dure l’excursion pour se rendre aux chutes Waber?
Prévoyez une journée complète pour bien en profiter. Voici une estimation réaliste du temps nécessaire :
- Canot (aller + retour) : environ 2 h à 3 h (soit 1h à 1h30 par trajet, selon votre rythme et les conditions de vent).
- Randonnée (aller + retour) : environ 2 h (soit 1h par trajet)
- Pause sur place : comptez au moins 1h si vous souhaitez dîner, vous baigner un peu et profiter du site.
Au total, prévoyez 5h à 7h pour l’expédition complète, avec une bonne marge si vous aimez prendre votre temps. C’est pourquoi on recommande fortement de partir avant 10 h le matin pour profiter pleinement de l’expérience sans se sentir pressé pour revenir. En démarrant tôt, vous vous assurez également d’avoir une embarcation pour la journée si vous n’avez pas réservé à l’avance.
Quand aller visiter les chutes Waber ?
Le parc est ouvert toute l’année, en toute saison. Toutefois, l’accès aux chutes n’est possible que durant la période estivale, soit de la fin mai jusqu’à la mi-octobre. Cela réduit déjà beaucoup la période de temps à laquelle planifier cette activité.
Un autre élément important à prendre en compte est le kiosque de location d’embarcations du lac Wapizagonke. Celui-ci n’est ouvert que pendant la saison touristique, et même à l’intérieur de cette période, les horaires varient selon les mois. Par exemple, il peut être ouvert tous les jours en haute saison estivale, mais fonctionner à horaires réduits au printemps ou à l’automne. Vous pourrez retrouver le tableau des horaires sur le site de location d’embarcation.
Choisir la saison selon vos envies :
- Été (juin à août) : parfait pour la baignade après l’effort.
- Automne (septembre à mi-octobre) : les couleurs flamboyantes rendent la balade encore plus spectaculaire.
- Printemps (mai) : le débit est plus fort à la suite de la fonte des neiges
À quelle heure démarrer ?
Nous vous recommandons de partir tôt le matin. Vous profiterez du calme sur le lac, éviterez la foule sur le sentier et aurez plus de temps pour savourer la baignade et la détente aux chutes.
Est-il possible d’utiliser son propre canot ou kayak?
Absolument ! Dans ce cas, vous n’aurez pas besoin de passer par le kiosque de location, mais il faut tout de même prévoir les pagaies, gilets de sauvetage conformes et le matériel de sécurité obligatoire (sifflet, corde flottante,…).
Peut-on se baigner aux cascades ?
La baignade n’est pas officiellement aménagée ni surveillée. Toutefois, il est courant que les visiteurs profitent des petites cuvettes naturelles et des bassins peu profonds au pied des cascades pour se rafraîchir les pieds ou s’asseoir dans l’eau après la rando. L’endroit est idéal pour se détendre mais il faut rester prudent. En effet, les roches peuvent être glissantes et le courant parfois fort selon la période de l’année. Si vous souhaitez vous tremper, limitez-vous aux zones calmes et peu profondes, et gardez en tête qu’il s’agit avant tout d’un lieu naturel, sans infrastructures de sécurité.
Que faire d’autre au parc national de la Mauricie ?
Cette excursion est un incontournable mais le parc offre de nombreuses autres activités pour prolonger votre visite. Mais que faire au parc national de la Mauricie plus exactement? Vous pouvez explorer les sentiers de randonnée qui traversent forêts et lacs, pagayer sur différents plans d’eau, parcourir la route panoramique en vous arrêtant aux belvédères, ou encore observer la faune et la flore locales.
Est-il possible de faire du camping dans le parc ?
Oui, il y a plusieurs options de camping pour tous les goûts:
- Camping aménagé : sites équipés avec table de pique-nique, foyer et accès aux services sanitaires. Idéal pour les familles ou ceux qui veulent un minimum de confort (secteur Rivière-à-la-Pêche, Wapizagonke ou Mistigance)
- Camping rustique / semi-aménagé : pour les amateurs de nature plus sauvage, avec des emplacements isolés.
- Camping sauvage / randonnée itinérante : accessible via certains sentiers et lacs, parfait pour ceux qui souhaitent combiner rando ou canot-camping et immersion totale en nature.
Ces sites peuvent être réservés à l’avance via le site officiel (attention, ça se remplit vite). Le camping est possible toute la saison estivale (fin mai à mi-octobre), idéale pour compléter votre excursion, comme nous l’avons fait.
Pour d’autres idées de voyages dans ce beau pays, consultez le reste de notre blog de voyage au Canada.
À propos de l’auteur de cet article

Moi c’est Anaïs et je suis passionnée de voyages. J’adore par dessus tout la nature et les animaux. J’ai commencé à voyager en 2019 lorsque j’ai rencontré Julien. Désormais, voyager est devenu ma plus grande motivation. En 2024, j’ai décidé de partager tout ça avec vous en créant le blog Mes voyages et moi. Alors n’hésitez pas à nous suivre et partez à la découverte du monde avec nous!
Laisser un commentaire